Dylan Alexandre Harrison
Messages : 251 Date d'inscription : 20/08/2010
| Sujet: DYLAN ♣ 100% Ven 20 Aoû - 17:26 | |
| decline your identity !
© freeze | Nom : HARRISON Prénom(s) : DYLAN, ALEXANDRE
Sexe : M Né(e) le : 01.03.1990 (20ans) à : PARIS Groupe : LOVE IS COLDER THAN DEATH
Si je vous dis que je suis Serveur dans un bar, vous me croyez ? Incroyable mais vrai, je sais qu'avec le physique que j'ai, j'aurais pû être genre Mannequin ou Acteur, mais ça ne m'intéressait pas, ce qui m'intéresse, c'est le dessin, c'est d'ailleurs à cause de ça que je suis serveur, pour payer mes études en dessin.
Je suis une personne qui cache bien son jeu, qui ne se montre pas vraiment tel qu'il est dès la première approche, comme première impression, je donne une mauvaise image de moi, je donne l'image de quelqu'un d'arrogant, de sarcastique, rebelle voir même méchant à forte dose, quand on apprend à me connaître, on découvre que j'ai des qualités, bon, je suis aussi arrogant, méchant, sarcastique et rebelle mais moins fort. Disons que j'amplifie mes défauts. C'est mauvaise d'être trop gentil, comme on dit, trop bon, trop con, je veux éviter ça. Mais sinon, ouais, bien sûr que j'ai des qualités, mais aussi, j'ai d'autres défauts bon, j'aime pas trop les énumérer comme ça, j'ai l'impression d'être vantard, donc déjà, j'suis quelqu'un de modeste, j'suis impulsif aussi, j'suis compréhensif, protecteur et serviable, je suis de bonne compagnie, un peu pot de colle sur les bord, capricieux voir pourri gâté. J'vais m'arrêtez là je pense, sinon, on y est encore demain.
J'ai cette manie de cligner des yeux quand je ne comprend pas quelque chose. J'ai cette manie de me toucher les cheveux quand je suis embarrassé. J'ai cette manie de faire les yeux de chiens battus quand je veux convaincre quelqu'un. J'ai cette manie de regarder mes pieds quand je ne sais pas quoi dire. | |
tell me more !
Depuis que le Love Program est là, les médias sont surexcités et veulent interviewés les habitants d'Hartford. Vous, vous marchez tranquillement dans la rue quand soudain, une journaliste d'ABC vous interpelle.
▬ Bonjour ! Nous travaillons pour la chaine ABC et nous voudrions vous poser quelques questions. Vous avez quelques minutes à m'accorder ?
« Ah ah je vous vois venir, nan j'ai pas le temps et j'ai autre chose à faire que parler de ces conneries. Allez demander à quelqu'un d'autre, quelqu'un qui a du temps à perdre. »
▬ Bien. Première question : Vous êtes inscrit au Love Program ?
« Naaan ! » ▬ Hm. Intéressant. Et pourquoi, donc ?
« Parce que j'y crois pas à ce truc et c'est complètement débile. » ▬ Vous êtes heureux(se), ainsi ?
« Ouais, tout va bien ! T'inquiètes pas pour moi. »
▬ Et avant le programme, vous faisiez quoi ?
« Et en quoi ma vie vous intéresse ? Bon, soit, donc déjà je ne suis pas d’ici, j’suis un français, j’suis né à Paris, capital de France, mais aussi Capitale de la mode comme ils disent ici en Amérique, d’ailleurs, je ne comprend pas pourquoi tous les américains rêvent d’aller à Paris, c’est vrai, ça n’a rien d’extraordinaire Paris, ok c’est grand et tout et tout mais voilà, rien de plus. Puis ce qui est drôle, c’est que tous les Américains rêvent d’aller en France mais tous els français, rêvent d’aller en Amérique, bref, on s’en fout, on n’est pas là pour parler de ça, on est là pour parler de moi. Donc, j’suis né à Paris, en France et j’ai déménagé en Amérique à l’âge de 10 ans. Déjà à 1ans, je mourrais d’envie d’aller sur le continent Américain, c’est vrai, moi et tous mes potes restés en France, on rêvait tous d’aller sur ce continent, donc imaginez la surprise et la joie que j’ai pu ressentir quand ma mère m’a dit : « Ton père et moi divorçons, on part pour l’Amérique, chez grand-mère et grand-père. » Ouais bon, à la limite, le divorce, je m’en fichais pas mal, je ne m’entendais pas du tout avec mon père de toutes façons, puis l’Amérique quoi, je l’ai tout de suite prise dans mes bras pour la remercier sans relever le divorce, même pas un « pourquoi » ou un « qu’est qui se passe ? » Je m‘en fichais pas mal, je m’en fichais même complètement, tout ce qui comptait … l’Amérique. Puis hein, nous avions des raisons en France d’aimer l’Amérique, avec toutes ces séries, ces dessins animés, on a été élevés dans le monde de l’Amérique un peu. Avec tous les experts, les simpsons, Friends, toutes ces séries télévisées et les films qui nous faisaient tellement envient. Puis quand on nous a appris qu’il y avait beaucoup de MC Do, l’envie à grandit. Enfin, tout ça à fait que le rêve américain bah … c’était notre rêve. Bref, revenons à nos moutons, c'est-à-dire moi. Après tout, mon histoire est des plus banals hein, j’suis né, j’ai grandi dans l’espoir de rejoindre un jour le continent voisin, mes parents ont divorcés quand j’avais 10 ans, on est parti en Amérique puis j‘ai continué ma jeunesse la bas.
Les débuts en Amérique étaient plutôt difficile, je ne parlais pas un mot d’Anglais donc je ne comprenais rien, mais au fur & à mesure, j’ai appris et maintenant, je maitrise la langue parfaitement. Nous habitions chez nos grands-parents, ceux si sont morts deux ans plus tard, et nous avions récupérés la maison. Puis je grandissais, crise d’adolescence, rebellions, le truc typique quoi. Donc je grandissais sans trop de soucis majeurs. Puis un jour je voulais mon indépendance, mais comme en Amérique, on atteint la majorité à l’âge de 21 ans, bah … ça m’énervait, je demandais donc l’émancipation à 18ans. Sauf que ma mère ne me laissa pas de chances, elle m’a dit : « Soyons clair, je t’émancipe, tu quitte cette maison et tu te démerdes » Ma mère devait être de mauvaise humeur ce jour là, mais pourtant j’acceptais, et ma mère ne revint pas sur sa décision, la porte de chez moi m‘était désormais fermés et je devais me débrouiller tout seul. Heureusement, un ami m’a hébergé jusqu'à ce que j’ai de quoi me payer un appartement. Je trouvais donc un emploi dans un café comme serveur, tout en continuant mes études, des études dans le dessin que je payais grâce à mon salaire de serveur. N’allez pas croire que je vis toujours chez mon ami, non, quelques mois après que ma mère m’est « jeté à la porte » un notaire m’a appelé pour me dire que ma grand-mère m’avait légué assez d’argent pour me payer un appartement et j’avais aussi assez pour me le meubler, je n’aurais pas pu les toucher avant mes 21 ans mais vu que je m‘étais fait émancipé, j’avais le droit. J’ai donc acheté un appartement. Et depuis bah … tout vas bien. Je vis ma petite vie tranquille, comme un adulte mature et tout va pour le mieux. » ▬ Si vous devez changer quelque chose dans votre vie, qu'est-ce que ça serait ?
« (sarcastique) Ma couleur de cheveux. » ▬ Merci de nous avoir consacrer ces quelques minutes de votre précieux temps. Au revoir !
« Tchuss ! » what i like about you !
(c) Maàth. | Prénom et/ou pseudo : Maàth. :D Age (facultatif) : 14 ans (a) Comment es-tu arrivé sur YFM ? : Leila ♥ Un commentaire sur le forum ? : ça à l'air de gerer :D Le code : garçon Exemple de RP (sous spoiler) : - Spoiler:
La malbouffe : « La malbouffe est le terme populaire donné à la nourriture jugée mauvaise sur le plan diététique en raison notamment de sa faible valeur nutritive et de sa forte teneur en graisses ou en sucres. Les hamburgers, les hot-dogs, les frites, les pizzas, les sodas en sont des archétypes. Elle peut favoriser l'obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires, certains cancers, etc. » N’allez pas croire que je connais la définition par cœur, ce n’était pas le cas. J’étais juste chez moi et l’idée de regarder dans le dictionnaire m’était venu. Je ne savais pas ce qui me prenait … Bref, donc, ce mot m’était venu à l’esprit et je m’étais rendu-compte que je ne savais pas ce que c’était exactement. Maintenant, tout ça était plus clair. Lire ce genre de choses m’avait donné faim. Je fermais donc le dictionnaire et le posa sur mon bureau de verre hors de prix pour me rendre dans la cuisine. J’ouvrais un tiroir pour examiner ce qui si trouvait. Ce même tiroir contenait : des raviolis, un paquet de macaronis, un paquet de chip’s, je fis la grimace. Rien de bien fameux. Je repensais à ce qui était dit dans le dictionnaire. Hamburgers, hot-dogs, frites, pizzas, sodas … tout ça me faisait rêver. J’eu soudain une grosse envie de manger des trucs gras, sucrés qui font grossir. La malbouffe était quelque chose qu’on souhaitait éviter, mais c’était impossible. Qui serait capable de résister à de bonnes frites salés à souhait avec un immense hamburger ? L’envie devenait de plus en plus forte et je me sentais incapable de résister. Il fallait aussi dire que tout était contre moi. Rien ne me faisait envie dans le placard, je venais de lire une définition sur la malbouffe où étaient écrits dedans, des mots interdits, et il passait justement un reportage à la télévision sur ce régime alimentaire. Comment pouvais-je résister ? Résister à la tentation était vraiment trop dur. C’était décidé. Ce midi, je mangerais au temple de ce qui me ferait prendre du poids. Le King burger m’ouvrait ses portes et n’attendait que moi. J’enfilais ma veste en cuir, prit de quoi me payer mon déjeuner et quitta mon appartement, pressée de rejoindre le paradis sur Terre. Comme avait dit quelqu’un : « La meilleure façon de résister à la tentation, c’est d’y céder » Même si pour moi, cette phrase n’avait absolument aucun sens, c’était un peu ce qui se passait en ce moment.
Je poussais la porte du « King Burger » avec un long sourire sur mon visage. Il y avait du monde, comme d’habitude. La plupart des gens qui venaient ici étaient des groupes d’amis, des jeunes, ou des familles dont le cuisinier ou la cuisinière avait la flemme de faire à manger. Ils venaient ici et mangeait un morceau, dans la joie et la bonne humeur. Bon, le problème avec cette nourriture, c’est qu’elle ne tenait pas au corps. Le temps de rentrer chez moi après m’être régalé que j’aurais déjà encore faim. C’était l’inconvénient des aliments gras, mais putain qu’est que c’était bon. Pour moi, il n’existait pas meilleur endroit qu’ici. Mais bon, je venais régulièrement ici et il était rare que je me rendais dans ces restaurants trois étoiles. Je disais ça mais ce n’était pas fondé vu le nombre de restaurant que j’avais fréquenté, c'est-à-dire, presqu’aucun.
La file était longue et je dû faire la queue aussi. Si il y avait bien une chose que je détestais, c’était ça, faire la queue. Mais je n’avais pas le choix hélas, je dû m’y résoudre. Enfin arriva mon tour. Bon, ça allait, je n’avais pas attendu trop longtemps. La serveuse me demanda ce que je désirais. « Bonjour, je voudrais un cheese burgeur avec des frites » Elle tapa sur son appareil et me fit un sourire. Quelques minutes après, ma commande arriva sur un plateau. Je payais la somme et quitta la file pour partir à la recherche d’une table libre. Vu le monde, je me doutais bien que ce ne serait pas chose facile. Il était même possible que je n’en trouve pas. C’était un risque que je décidais de prendre. Qui vivra verra.
Je partis donc à la recherche de la douce table qui m’attendait. Mais où m’attendait-elle ? Telle était la question. Après quelques minutes de recherche, je finis par repérer une famille qui s’apprêtait à partir. Je décidais donc naturellement de tenter ma chance. Bingo ! Quelques secondes plus tard, j’étais assise à cette table en train d’admirer ce trésor qui allait bientôt terminer dans mon estomac. Je pris une frite et croqua dedans avant d’émettre un gémissement satisfaite. Puis, je pris mon cheese burger de mes deux mains et le porta à ma bouche lentement, pour mieux le savourer. Seulement, il avait fallu que quelque chose vienne tout gâcher. Assise à ma table, je m’apprêtais à croquer dans mon hamburger quand je vis passer devant moi … lui ! Preston Garner ! C’était sans doute la personne que j’avais le moins envie de voir. Normal après ce qu’il m’avait fait. Là, tout un tas de questions se bousculèrent dans ma tête. Que devais-je faire ? Ou plutôt : qu’étais-je censé faire ? Devais-je faire comme si je ne l’avais pas vu et continuer de manger tranquillement ? Ou bien lever mon petit derrière pour aller le voir ? J’aurais bien choisi la première solution, mais quelque chose me bloquait. Je ne pouvais décidément pas le laisser s’en sortir comme ça. Nous avions des comptes à régler et quelque chose me disait que nous allions les régler ici, au King Burger. Peu importe ! Il me devait des excuses, même si je savais très bien qu’il ne me les donnerait pas. Je voulais garder mon calme mais c’était trop dur de garder mon sang-froid en voyant sa belle gueule. J’avais des envie de meurtres à ce moment précis, si seulement, j’avais un flingue, il serait déjà gisant par terre, à baigner dans son sang. Je serrais mes dents et mes points et respirais pour me calmer. Je me levais d’un bond furieux, prit une frite entre mon pouce et mon index et croqua dedans avant de contourner ma table et de me diriger vers mon cher ami qui ne semblait pas m’avoir remarqué. J’avançais d’un pas décidé, mais … au bout de quelques pas, je me stoppais et revint en arrière. Je saisissais un sachet de sauce ketchup, quelque chose me disait que j’allais en avoir besoin. Je ne savais pas trop ce que j’allais faire avec mais … j’allais en avoir besoin. Je prenais aussi le sachet de la sauce barbecue, on ne sait jamais. Je regardais une dernière fois ma cible avant de me concentrer. Il fallait que je garde la tête froide, il fallait que je sois forte. Je devais repenser à ce qu’il m’avait fait pour pouvoir le regarder droit dans les yeux sans fondre en larme. Je recroquais dans une frite et partit dans la direction de mon ennemi juré, la tête haute, bien déterminée à régler mes comptes.
Je savais que Preston n’était pas du genre à se laisser faire, il avait un mauvais caractère et je savais qu’il serait capable de tout. Mais cette fois ci, je ne me laisserais pas faire. Ce genre de personne, je les connaissais bien, c’est le genre de mec qui va t’accueillir avec un sourire faux, narquois, sarcastique et qui va tout faire pour te déstabiliser, il serait même capable de m’humilier devant tout le King Burger. J’avais trop souffert à cause de lui. A chaque pas, mon cœur se serrait et une boule se formait dans mon estomac, malgré ça, la colère était plus forte, j’avais une de ces envie de l’étrangler, de l’humilier comme il m’avait humilié, de lui foutre une baffe, de le battre jusqu'à ce qu’il pleure, jusqu'à ce qu’il me supplie d’arrêter, mais je savais bien que c’était impossible. Quoi que, s’il me poussait à bout, je serais capable de bien des choses. Il avait le dos tourné, il ne m’avait pas remarqué. Qu’est que je faisais maintenant ? Je lui donnais un gros coup de talons dans les fesses ? Non, prendre par surprise, c’est lâche. Je n’étais pas lâche contrairement à lui. J’arrivais à sa hauteur et tapota son épaule. Il se retourna et je lui affichais un grand sourire sarcastique. « Bonjour Preston » Je ne l’avais pas revu depuis cette nuit où il m‘avait filmée en train de coucher avec lui, je ne pouvais pas repousser la confrontation. Il faudrait bien que je l’affronte un jour, et ce jour, c’est aujourd’hui. Le plus étonnant, c’était que c’était moi qui étais allé vers lui alors que si j’aurais été maline, je me serais faite petite et je n’aurais pas bougée petit doigt. Va savoir qu’elle mouche m’avait piqué à cet instant là.
Une seule chose me séparait de Preston, c’était son plateau qui pendant juste devant moi. Je lui piquais une frite que je croquais ensuite pour relever mon regard vers lui. J’arquais un sourcil. Je me sentais forte et ses pics ne m’atteindront pas. « J’crois qu’on a des comptes à régler nous deux ! » finis-je par lâcher en le regardant. Mon sourire était devenu plus faible. Serais-je assez forte pour me contrôler de lui en foutre une ? Tout ça dépendra de lui.
Envie de Jalousie ? : [X] Oui [ ] Non Quelque chose à ajouter ? : La bande itsc elle gère (yy)
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Dernière édition par Dylan Alexandre Harrison le Ven 20 Aoû - 17:30, édité 1 fois |
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